Legendre, Andréa (1989)

Tremblay, Andréa (1989) : Aux pédales d'un DEC en musique obtenu en 2009, cette pianiste fanatique mais tout de même attendrie par la magie de Walt Disney a 14 années d'études à son actif. En tant qu'instrumentiste zélée, cette authentique Bairiveraine se classe non sans raison en quatrième place de la catégorie virtuose au Festival de musique du Royaume en 2009, est récipiendaire de nombreuses bourses considérables et s'est même produite comme soliste accompagnée par l'orchestre des jeunes du Saguenay sous la direction de Jacques Clément en hiver 2008. En plus de se tuer aux études, Andréa enseigne à l'École de musique de Chicoutimi dans le but de créer une armée de jeunes pianistes dangereusement talentueux. Outre la musique, elle voue son existence à l'adoration de la race féline. Si vous possédez un chat, gare à vous! Aussitôt entrée en contact avec lui, elle perdra tout lien avec la réalité. Dans ce genre de cas, le moyen de prédilection utilisé afin de lui rendre ses esprits est de semer quelques sucreries sur son passage...

Turcotte, Marie-Aude (1985)

Turcotte, Marie-Aude (1985) : Cette jolie blonde aux cordes mélodieuses fait vibrer son violon depuis l'âge de onze ans, où elle y touche pour la première fois dans sa ville d'origine qu'est Jonquière. Au terme de quatre ans d'études, la musicienne passionnée entre au Conservatoire et se joint à la classe de Nathalie Camus, violoniste et membre du renommé Quatuor Alcan. Instrumentiste de talent, Marie-Aude gagne en 2008 le concours des jeunes solistes et présente, accompagnée de l'orchestre des jeunes en automne 2008, le premier mouvement du concerto no.2 de Mendelssohn sous la direction de Michel Gingras. Au quotidien, elle enseigne avec sourire et patience l'art de son instrument à l'École de musique de la Baie et est mordue de l'observation d'oiseau.

Girard, Joël (1989)

Girard, Joël (1989) : Pur habitant de la ville Jonquière majeur et vacciné, il possède un grand sens de l'humour. Contrebassiste endurci, Joël entre au Conservatoire à l'âge de 15 ans sous la tutelle d'Annie Vanasse. Entre autres, le merveilleux talent de ce contrebassiste ricaneur et sympathique lui a permis de se classer plus d'une fois à la finale provinciale du Concours du Canada et a remporté, lors de sa quatrième participation au Festival du Royaume, la catégorie brio ainsi qu'une bourse d'excellence. Dans la vie, il dédie son unique autre passion à la littérature de science politique roumaine, malgré qu'il soit doué lorsque paré d'un déguisement de clown.

Chabot Leclerc, Gaël (1988)

Chabot Leclerc, Gaël (1988) : Tapocheux précoce, l'attirance du bruit métallique des casseroles et le maniement des baguettes chinoises le prédestinent à une talentueuse carrière percussive. Il s'y jette dès l'âge de 8 ans avec l'apprentissage de la batterie sous la tutelle de Sylvie Lapointe, qui lui enseigne tout du snair à la grosse caisse. Ce faisant, il découvre aussi les claviers, vibraphone et marimba, avec qui il nouera une amitié éternelle et sans pareil. D'un potentiel effarant, il entre au Conservatoire en 2001 et accumule les médailles, les bourses et le renom aussi vite que son ombre. Le natif de Chicoutimi remporte en 2005, 2008 et 2009 le premier prix des finales nationales du Concours du Canada se déroulant respectivement à Edmonton, Québec et Montréal. D'autant plus exceptionnel, il joue le 15 Avril 2009 au Carnegie Hall de New-York avec le YouTube Symphony Orchestra sous la direction de Michael Tilson Thomas, directeur du San Francisco Symphony. Déjà, son futur lui réserve la chance incroyable de combiner ses passions car dans son sang circulant la bougeotte aigüe, il est un inépuisable globe-trotter combiné d'un photographe de talent. Tremblez futurs vibraphonistes! La pente sera raide suite à son passage!

B. Simard, Annie-Paule (1991)

B. Simard, Annie-Paule (1991) : Chicoutimienne pure laine, maladroite confirmée et altiste à ses heures, elle étudie au Conservatoire depuis huit ans aux côtés de l'instrumentiste Frank Perron et accumule 15 ans d'expérience musicale en ayant touché au violon dans son plus jeune âge. Toujours à fredonner la tête en l'air et à rire pour rien, sa nonchalance est sans égal à sa distraction mais cette humble artiste à la crinière imposante se donne de tout son coeur lorsqu'elle est passionnée. N'aimant pas les concours, elle n'en fait pas, donc ne remporte rien. Pensant mettre fin à ses études conservatoiriennes dans quelques années, elle se lance en automne 2010 dans un nouveau champ d'études : la sonorisation. À part la musique, Annie-Paule aime corriger les fautes d'orthographe et conssomer une grande quantité de jus de légumes.